Notre savoir-faire
Les métiers et moyens mis en œuvre au service de l’action d’insertion
Une pratique de plusieurs métiers qui exige des compétences spécifiques
- Métier de l’accompagnement des salariés.
- Métier de la collecte de dons sur le territoire haut-normand.
- Métier de tri (classage, conditionnement).
- Métier du commerce et du négoce.
Un support économique et d’emploi
Solidarité Textiles maîtrise principalement une filière locale de collecte et de réemploi des textiles et accessoires de l’habillement sur le territoire de la CREA.
Le recyclage qui initie la notion d‘économie circulaire désigne toute opération visant à réintroduire les matières textiles et autres issus des collectes, dans un processus de production d’un nouveau produit reste globalement à être inventé. C’est cette distinction qui nous différencie des autres filières du recyclage.(papier, carton, verre, PEHD, D3E ….)
Nos déchets ultimes (vêtements souillés…) sont traités par le SMEDAR, qui de par ses statuts, définit la politique d’élimination des déchets (valorisation énergétique) sur le territoire de la CREA.
Des moyens humains
- Un Président
- Un Conseil d’Administration composé de 6 membres bénévoles
- Un encadrement de 5 permanents (direction, accompagnement socioprofessionnel, collecte et production, , administration comptable)
- 40 salariés en parcours d’ insertion (Contrat CDDI 112 h 67 / mois – durée maximum 24 mois)
Activités et savoir faire
Collecte
Elle s’effectue par le vidage de conteneurs situés dans les communes et parking des grandes surfaces partenaires.
Les véhicules de collecte sont géolocalisés en permanence pour plus d’efficacité.
Progression des volumes collectés
1995 = 250 tonnes -> 2013 = 1 000 tonnes
Tri, Classage, Conditionnement, Commercialisation
Notre savoir-faire est de trier et de classer les vêtements et accessoires contenus dans les dons pour leur redonner une seconde vie.
Le secteur du tri est le plus générateur de main-d’œuvre dans le process du recyclage. La conséquence première de cette demande de main d’œuvre a été la délocalisation constante des entreprises européennes vers les pays à faible coût de main-d’œuvre.
Notre activité et notre savoir-faire relocalisent des emplois perdus.